The Book of the Thousand Nights and a Night — Volume 10 eBook

This eBook from the Gutenberg Project consists of approximately 530 pages of information about The Book of the Thousand Nights and a Night — Volume 10.

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Paris is by no means more depraved than Berlin and London; but, whilst the latter hushes up the scandal, Frenchmen do not:  hence we see a more copious account of it submitted to the public.  For France of the xviith century consult the “Histoire de la Prostitution chez tous les Peuples du Monde,” and “La Prance devenue Italienne,” a treatise which generally follows"L’Histoire Amoureuse des Gaules” by Bussy, Comte de Rabutin.[FN#422] The headquarters of male prostitution were then in the Champ Flory, i.e., Champ de Flore, the privileged rendezvous of low courtesans.  In the xviiith century, “quand le Francais a tete folle,” as Voltaire sings, invented the term “Peche philosophique,” there was a temporary recrudescence; and, after the death of Pidauzet de Mairobert (March, 1779), his “Apologie de la Secte Anandryne” was published in L’Espion Anglais.  In those days the Allee des Veuves in the Champs Elysees had a “fief reserve des Ebugors"[FN#423]—­“veuve” in the language of Sodom being the maitresse en titre, the favourite youth.

At the decisive moment of monarchical decomposition Mirabeau[FN#424] declares that pederasty was reglementee and adds, Le gout des pederastes, quoique moins en vogue que du temps de Henri iii. (the French Heliogabalus), sous le regne desquel les hommes se provoquaient mutuellement[FN#425] sous les portiques du Louvre, fait des progres considerables.  On salt que cette ville (Paris) est un chef-d’oeuvre de police; en consequence, il y a des lieux publics autorises a cet effet.  Les jeunes yens qui se destinent a la professign, vent soigneusement enclasses; car les systemes reglementaires s’etendent jusques-la.  On les examine; ceux qui peuvent etre agents et patients, qui vent beaux, vermeils, bien faits, poteles, sont reserves pour les grands seigneurs, ou se font payer tres-cher par les eveques et les financiers.  Ceux qui vent prives de leurs testicules, ou en termes de l’art (car notre langue est plus chaste qui nos moeurs), qui n’ont pas le poids du tisserand, mais qui donnent et recoivent, forment la seconde classe; ils vent encore chers, parceque les femmes en usent tandis qu’ils servent aux hommes.  Ceux qui ne sont plus susceptibles d’erection tant ils sont uses, quoiqu’ils aient tous ces organes necessaires au plaisir, s’inscrivent comme patiens purs, et composent la troisieme classe:  mais celle qui preside a ces plaisirs, verifie leur impuissance.  Pour cet effet, on les place tout nus sur un matelas ouvert par la moitie inferieure; deux filles les caressent de leur mieux, pendant qu’une troisieme frappe doucement avec desorties naissantes le siege des desire veneriens.  Apres un quart d’heure de cet essai, on leur introduit dans l’anus un poivre long rouge qui cause une irritation considerable; on pose sur les echauboulures produites par les orties, de la moutarde fine de Caudebec, et l’on passe le gland au camphre.  Ceux qui resistent a ces epreuves et ne donnent aucun signe d’erection, servent comme patiens a un tiers de paie seulement.[FN#426]

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