FOOTNOTES:
[172]
Tristes calculateurs des miseres humaines,
Ne me consolez point, vous aigrissez mes peines;
Et je ne vois en vous que l’effort impuissant
D’un fier infortune qui feint d’etre content.
Quel bonheur, O mortels, et faible et miserable.
Vous criez: “Tout est bien” d’une voix lamentable;
L’univers vous dement, et votre propre coeur
Cent fois de votre esprit a refute l’erreur.
Il le faut avouer, le mal est sur la terre.
DESASTRE DE LISBONNE.
[173]
Pourquoi donc, O Maitre supreme,
As-tu cree le mal si grand
Que la raison, la vertu meme
S’epouvantent en le voyant?
Comment, sous la sainte lumiere,
Voit-on des actes si hideux,
Qu’ils font expirer la priere
Sur les levres du malheureux?
Pourquoi, dans ton oeuvre celeste,
Tant d’elements si peu d’accord?
A quoi bon le crime et la peste,
O Dieu juste! pourquoi la mort?
ALFRED DE MUSSET, Espoir en Dieu.
[174] Les origines indo-europeennes, ou les Aryas primitifs.—The above is a resume, not a verbatim quotation.
[175] Quocirca te, Capitoline, quem propter beneficia populus Romanus OPTIMUM, propter vim MAXIMUM nominavit. (Pro domo sua, LVII.)
[176] See the Voyage autour de ma chambre of Xavier de Maistre.
[177] Le crepuscule aux monts prolonger ses adieux.
[178]
Tout le bonheur tu cedes
Accroit ta felicite.
[179]
Chere a tout homme quel
qu’il soit,
J’apporte la joie
a qui donne
Et je la laisse a qui
recoit.
And Shakspeare—
“....
Mercy ... is twice bless’d,
It blesseth him that
gives, and him that takes.”
Merchant
of Venice.—[TR.]
[180] Lacordaire. Conferences de 1848.
[181] Conferences de 1848, p. 78.
[182] La raison et le Christianisme: twelve lectures on the existence of God, one vol. 12mo. In the Philosophie de la liberte (2 vols. 8vo.) M. Secretan has set forth, in a severely scientific form, the arguments of which the reader has just seen the oratorical expression from the pen of Pere Lacordaire. This agreement is worth notice, the dates showing that no communication was possible.
[183]
Je me couche sans peur,
Je m’endors sans
frayeur,
Sans crainte je m’eveille.
Dieu qui soutient ma
foi
Est toujours pres de
moi,
Et jamais ne sommeille.
THE END.
* * * * *