The preceding extracts will suffice. This is a volume in every respect interesting—both to the literary antiquary and to the Book-Collector. A NEW EDITION of this work has appeared under the editorial care of M. Louis Dubois, published at Caen in 1821, 8vo. obtainable at a very moderate price.
[B] The host, at these public and private festivals, usually called upon some one to recite or sing a song, chiefly of an amatory or chivalrous character; and this custom prevailed more particularly in Normandy than in other parts of France:
Usaige
est en Normandie,
Que
qui hebergiez est qu’il die
Fable
ou Chanson a son oste.
See the authorities cited at page XV, of this Discours preliminaire.
[163] Some account of this printer, together with
a fac-simile of his
device, may be seen in the
Bibliographical Decameron, vol. ii.
p. 33-6.
[164] The first publication is entitled “Essai
sur l’Histoire de
l’Industrie du Bocage
en General et de la Ville de Vire sa capitale en
particulier, &c.”
Par M. RICHARD SEGUIN. A Vire, chez Adam,
Imprimeur, an 1810, 12mo.
It is not improbable that I may have
been the only importer of
this useful and crowdedly-paged duodecimo
volume; which presents us
with so varied and animated a picture of the
manners, customs, trades,
and occupations of the Bocains and the
Virois.
[165] I subjoin an extract which relates to the
DRESS AND CHARACTER OF THE WOMEN.
“Quant au COSTUME DES FEMMES d’aujourd’hui, comme il faudrait un volume entier pour le decrire, je n’ai pas le courage de m’engager dans ce labyrinte de ridicules et de frivolites. Ce que j’en dirai seulement en general, c’est qu’autant les femmes du temps passe, etaient decentes et chastes, et se faisaient gloire d’etre graves et modestes, autant celles de notre siecle mettent tout en oeuvre pour paraitre cyniques et voluptueuses. Nous ne sommes plus au temps ou les plus grandes dames se faisaient honneur de porter la cordeliere.[C] Leurs habillemens etaient aussi larges et fermes, que celui des femmes de nos jours sont ouverts et legers, et d’une finesse que les formes du corps, au moindre mouvement, se dessinent, de maniere a ne laisser rien ignorer. A peine se couvrent-elles le sein d’un voile transparent tres-leger ou de je ne sais quelle palatine qu’elles nomment point-a-jour, qui, en couvrant tout, ne cache rien; en sorte que si elles n’etalent pas tous leurs charmes a decouvert, c’est que les hommes les moins scrupuleux, qui se contentent de les persifler, en seraient revoltes tout-a-fait. D’ailleurs, c’est que ce n’est pas encore la mode; plusieurs poussent meme l’impudence jusqu’a venir dans nos temples sans coiffure, les cheveux herisses comme des furies; d’autres, par une bizarrerie qu’on ne peut expliquer se