On this account, and on other accounts, the ballad addressed to Geoffrey Chaucer by Eustache Deschamps deserves repetition. Its text requires to be established, in order that we may be aware of its real obscurities—for no future memoir of Chaucer can be considered as complete, without some reference to it.
The best authorities on Eustache Deschamps are MM. Crapelet, Raynouard, and Paulin Paris. To M. Crapelet we are indebted for the publication of Poesies morales et historiques d’Eustache Deschamps; to M. Raynouard, for an able review of the volume in the Journal des Savants; and to M. Paulin Paris, for an account of the manuscript in which the numerous productions of the author are preserved. Of the author himself, the learned M. Paris thus writes:—
“On pourroit surnommer Eustache Deschamps le Rutebeuf du XIVe siecle.—Ses oeuvres comprennent des epitres, des discours en prose, des jeux dramatiques, des ouvrages latins, des apologues, un grand poeme moral, et un infinite de ballades et rondeaux pieux, bouffons, satiriques,” &c.
Two impressions of the ballad in question are before me; one, in the Life of Geoffrey Chaucer by sir Harris Nicholas, dated 1843—and the other in a volume entitled Geoffrey Chaucer, poete anglais du XIVe siecle. Analyses et Fragments par H. Gomont, Paris, 1847.—I transcribe the ballad from the latter volume, as less accessible to English students:—
“BALLADE INEDITE ADRESSEE A GEOFFREY
CHAUCER PAR EUSTACHE DESCHAMPS.
O Socrates, plains de philosophie, Seneque en meurs et Anglais en pratique, Oui des grans en ta poeterie, Bries en parler, saiges en rethorique, Virgiles tres haulz qui, par ta theorique, Enlumines le regne d’Eneas, Lisle aux geans, ceuls du Bruth, et qui as Seme les fleurs et plante le rosier, Aux ignorants, de la langue pandras Grant translateur, noble Geffroy Chaucier.
Tu es d’amours mondains Dieux en
Albie,
Et de la rose en la terre angelique,
Qui d’Angela Saxonne et (est)
puis flourie
Angleterre (d’elle ce nom s’applique).
Le derrenier en l’ethimologique En bon angles le livre translatas; Et un Vergier, ou du plant demandas De ceuls qui sont pour eulx auctorisier, A ja long teams que tu edifias, Grant tranlslateur noble Geffroy Chaucier.
A toy, pour ce, de la fontaine Helye Requier avoir un buvraige autentique Dont la doys est du tout en ta baillie, Pour rafrener d’elle ma soif ethique Qui men gaule seray paralitique Jusques a ce que tu m’abuveras. Eustaces sui qui de mon plant aras; Mais pran en gre les euvres d’escolier Que par Clifford de moy Bavoir pourras, Grant translateur noble Geffroy Chaucier.
L’ENVOY.
Poete hauls loenge destynie En ton jardin ne seroie qu’ortie Considere ce que j’ai dit premier Ton noble plant, ta douce melodie Mais pour savoir de rescripre te prie, Grant translateur noble Geoffroy Chaucier.”
The new readings are in Italics, and I shall now repeat them with the corresponding words as printed by sir Harris Nicolas:—