[Footnote 76: Botta, “Storia d’Italia,” vol. ii., chs. x., etc.; Daru, “Hist. de Venise,” vol. v.; Gaffarel, “Bonaparte et les Republiques Italiennes,” pp. 137-139; and Sciout, “Le Directoire,” vol ii., chs. v. and vii.]
[Footnote 77: Sorel, “Bonaparte et Hoche en 1797,” p. 65.]
[Footnote 78: Letter of April 30th, 1797.]
[Footnote 79: Letter of May 13th, 1797.]
[Footnote 80: It would even seem, from Bonaparte’s letter of July 12th, 1797, that not till then did he deign to send on to Paris the terms of the treaty with Venice. He accompanied it with the cynical suggestion that they could do what they liked with the treaty, and even annul it!]
[Footnote 81: The name Italian was rejected by Bonaparte as too aggressively nationalist; but the prefix Cis—applied to a State which stretched southward to the Rubicon—was a concession to Italian nationality. It implied that Florence or Rome was the natural capital of the new State.]
[Footnote 82: See Arnault’s “Souvenirs d’un sexagenaire” (vol. iii., p. 31) and Levy’s “Napoleon intime,” p. 131.]
[Footnote 83: For the subjoined version of the accompanying new letter of Bonaparte (referred to in my Preface) I am indebted to Mr. H.A.L. Fisher, in the “Eng. Hist. Rev.,” July, 1900:
“Milan, 29 Thermidor [l’an IV.]
“A LA CITOYENNE TALLIEN
“Je vous dois des remerciements, belle citoyenne, pour le souvenir que vous me conservez et pour les choses aimables contenues dans votre apostille. Je sais bien qu’en vous disant que je regrette les moments heureux que j’ai passe dans votre societe je ne vous repete que ce que tout le monde vous dit. Vous connaitre c’est ne plus pouvoir vous oublier: etre loin de votre aimable personne lorsque l’on a goute les charmes de votre societe c’est desirer vivement de s’en rapprocher; mais l’on dit que vous allez en Espagne. Fi! c’est tres vilain a moins que vous ne soyez de retour avant trois mois, enfin que cet hiver nous ayons le bonheur de vous voir a Paris. Allez donc en Espagne visiter la caverne de Gil Blas. Moi je crois aussi visiter toutes les antiquites possibles, enfin que dans le cours de novembre jusqu’a fevrier nous puissions raconter sans cesse. Croyez-moi avec toute la consideration, je voulais dire le respect, mais je sais qu’en general les jolies femmes n’aiment pas ce mot-la.
“BONAPARTE.
“Mille et mille chose a Tallien.”]
[Footnote 84: Lavalette, “Mems.,” ch. xiii.; Barras, “Mems.,” vol. ii., pp. 511-512; and Duchesse d’Abrantes, “Mems.,” vol. i., ch. xxviii.]
[Footnote 85: Barras, “Mems.,” vol. ii., ch, xxxi.; Madame de Stael, “Directoire,” ch. viii.]
[Footnote 86: “Memoires de Gohier”; Roederer, “Oeuvres,” tome iii., p. 294.]
[Footnote 87: Brougham, “Sketches of Statesmen”; Ste. Beuve, “Talleyrand”; Lady Blennerhasset, “Talleyrand.”]