[44] Nouv. Hel., III. xiv. 48.
[45] E.g. Letters, 40-46.
[46] Madame de Stael (1765-1817), in her Lettres sur les ecrits et le caractere de J.J. Rousseau, written when she was twenty, and her first work of any pretensions. Oeuv., i. 41. Ed. 1820.
[47] Nowhere more pungently than in a little piece of some half-dozen pages, headed, Prediction tiree d’un vieux Manuscrit, the form of which is borrowed from Grimm’s squib in the dispute about French music, Le petit Prophete de Boehmischbroda, though it seems to me to be superior to Grimm in pointedness. Here are a few verses from the supposed prophecy of the man who should come—and of what he should do. “Et la multitude courra sur ses pas et plusieurs croiront en lui. Et il leur dira: Vous etes des scelerats et des fripons, vos femmes sont toutes des femmes perdues, et je viens vivre parmi vous. Et il ajoutera tous les hommes sont vertueux dans le pays ou je suis ne, et je n’habiterai jamais le pays ou je suis ne.... Et il dira aussi qu’il est impossible d’avoir des moeurs, et de lire des Romans, et il fera un Roman; et dans son Roman le vice sera en action et la vertu en paroles, et ses personages seront forcenes d’amour et de philosophie. Et dans son Roman on apprendra l’art de suborner philosophiquement une jeune fille. Et l’Ecoliere perdra toute honte et toute pudeur, et elle fera avec son maitre des sottises et des maximes.... Et le bel Ami etant dans un Bateau seul avec sa Maitresse voudra le jetter dans l’eau et se precipiter avec elle. Et ils appelleront tout cela de la Philosophie et de la Vertu,” and so on, humorously enough in its way.
[48] See passages in Goncourt’s La Femme au 18ieme siecle, p. 380.
[49] Musset-Pathay, II. 361. See Madame Roland’s Mem., i. 207.
[50] Corr., March 3, and March 19, 1761. The criticisms of Ximenes, a thoroughly mediocre person in all respects, were entirely literary, and were directed against the too strained and highly coloured quality of the phrases—“baisers acres”—among them.
[51] Nouv. Hel., V. v. 115.
[52] VI. vii.
[53] VI. vi.
[54] Michelet’s Louis XV. et Louis XVI., p. 58.
[55] See Hettner’s Literaturgeschichte, II. 486.
[56] IV. xi.
[57] IV. xvii. See vol. iii. 423.
[58] In 1816. Moore’s Life, iii. 247; also 285. And the note to the stanzas in the Third Canto,—a note curious for a slight admixture of transcendentalism, so rare a thing with Byron, who, sentimental though he was, usually rejoiced in a truly Voltairean common sense.