[* The most remarkable passages on the subject are the following, under the title of Terre Napoleon.
“De ce grand espace (the south coast of Terra Australis), la partie seule qui du Cap Leuwen s’etend aux iles St. Pierre et St. Francois, ecoit connue lors de notre depart d’Europe. Decouverte par les Hollandois en 1627, elle avoit ete, dans ces derniers temps, visitee par VANCOUVER et surtout par DENTRECASTEAUX; mais ce dernier navigateur n’ayant pu lui-meme s’avancer au-dela des iles St. Pierre et St. Francois, qui forment la limite orientale de la terre de Nuyts, et les Anglois n’ayant pas porte vers le Sud leurs recherches plus loin que le port Western, il en resultoit que toute la portion comprise entre ce dernier point et la terre de Nuyts etoit encore inconnue au moment ou nous arrivions sur ces rivages.” p. 316. That is on March 30, 1802. M. Peron should have said, not that the south coast from Western Port to Nuyts’ Land was then unknown; but that it was unknown to them; for captain Grant of the Lady Nelson had discovered the eastern part, from Western Port to the longitude 1401/4 deg., in the year 1800, before the French ships sailed from Europe; and on the west I had explored the coast and islands from Nuyts’ land to Cape Jervis in 138 deg. 10’, and was, on the day specified, at the head of the Gulph of St. Vincent.
“Dans ce moment, le capitaine Anglois nous hela, en nous dernandant si nous n’etions pas l’un des deux vaisseaux partis de France pour faire des decouvertes dans l’hemisphere Austral. Sur notre reponse affirmative, il fit aussitot mettre une embarcation a la mer, et peu d’instans apres nous le recumes a bord. Nous apprimes que c’etoit le capitaine FLINDERS, celui-la meme qui avoit deja fait la circonnavigation de la terre de Diemen; que son navire se nommoit the Investigator; que, parti d’Europe depuis huit mois dans le dessein de completer la reconnoissance de la Nouvelle Hollande et des archipels du grand Ocean equatorial, il se trouvoit, depuis environs trois mois, a la terre de Nuyts; que, contrarie par les vents, il n’avoit pu penetrer, comme il en avoit eu le projet, derriere les iles St. Pierre et St. Francois; que, lors de son depart d’Angleterre,” etc. p. 324, 325.
“En nous fournissant tous ces details. M. FLINDERS se montra d’une grande reserve sur ses operations particulieres. Nous apprimes toutefois par quelques-uns de ses matelots, qu’il avoit eu beaucoup a souffrir de ces memes vents de la partie du Sud qui nous avoient ete si favorables, et ce fut alors sur-tout que nous pumes apprecier davantage toute la sagesse de nos propres instructions. Apres avoir converse plus d’une heure avec nous,” (no person except Mr. Brown was present at my conversation with captain Baudin, as I have already said), “le capitaine FLINDERS repartit pour son bord, promettant de revenir le lendemain matin nous apporter une carte particuliere de la riviere Dalrymple, qu’il venait de publier en Angleterre. Il revint en effet, le 9 avril, nous la remettre, et bientot apres nous le quittames pour reprendre la suite de nos tra vaux geographiques.” p. 325.