M. de Saussure has here given us an example of a calcareous Braccia, as he calls it, but which is rather a pudding stone, with veins or contractions of the mass. He does not seem to understand these as consequences of the consolidation of those strata; this, however, is the only light in which these appearances may be explained, when those bodies are thus divided without any other separation in the mass.
The second example is found in the vertical strata of those mountains through which the Rhone has made its way in running from the great valley of the Vallais towards the lake of Geneva. (Chapitre xlviii.)
“C’est une espece de petrosilex gris, dur, sonore, un peu transparent, qui se debite en feuillets minces parfaitement plans et reguliers. Ces feuillets, ou plutot ces couches, courent a 35 degres du nord par est, en montant du cote de l’ouest sous un angle de 80 degres. Ces couches sont coupees par des fentes qui leur sont a-peu-pres perpendiculaires et qui le sont aussi a l’horizon. Cette pierre s’emploie aux memes usage que l’ardoise, mais elle est beaucoup plus forte et plus durable, parce qu’elle est plus dure et moins accessible aux impressions de l’eau et de l’air.
Sec. 1047. “Ces petrosilex feuilletes changent peu-a-peu de nature, en admettant dans les interstices de leurs feuillets des parties de feldspath. Ils out alors l’apparence d’une roche feuilletee, quartzeuse et micacee, (quartzum fornacum W.). Mais cette apparence est trompeuse; car on n’y trouve pas un atome de quartz: toutes les parties blanches qui donnent du feu contre l’acier, font du feldspath; et les parties grise ecailleuses ne font point du mica, ce sont de lames minces du petrosilex dont j’ai deja parle.”
Here is evidently what I would call petuntze strata, or porcelane stone, that is, strata formed by the deposits of such materials as might come from the detritus of granite, arranged at the bottom of the sea, and consolidated by heat in the mineral regions. We have precisely such stratified masses in the Pentland hills near Edinburgh. I have also a specimen of the same kind, brought from the East Indies, in which there is the print of an organized body. I believe it to be of some coralline or zoophite.
Sec. 1048. “Cette roche melangee continue jusqu’a ce que le rocher s’eloigne un peu du grand chemin. La, ce rocher se presente coupe a pic dans une grande etendue, et divise par de grandes fentes obliques, a-peu-pres paralleles entr’elles. Ces fentes partagent la montagne en grandes tranches de 50 a 60 pieds d’epaisseur, que de loin semblent etre des couches. Mais lorsqu’on s’en approche, on voit, par le tissu meme de la pierre feuilletee, que ses vraies couches font avec l’horizon des angles de 70 a 75 degre, et que ces grandes divisions sont de vraies fentes par lesquelles un grand nombre de couches consecutives sont coupees presque perpendiculairement a leurs plans. Les masses de rocher, comprises entre ces grandes fentes, sont encore divisees par d’autres fentes plus petites, dont la plupart sont paralleles aux grandes, d’autres leur sont obliques; mais toutes sont a tres-peu-pres perpendiculaires aux plans des couches dont la montagne est composee.”