[58] See Larousse, Article Comedie-Italienne.
[59] There was a brief period, from 1717 to 1726, in which Crebillon withdrew in discouragement from the theatre.
[60] Other writers for the Theatre-Italien at this time were Autreau, Delisle, Fuzelier, none of whom is very famous.
[61] “On lui en connait au moins trois pour ces sortes de couplets, alors a la mode, chantes et danses, soit entre les divers actes, soit a la fin de la piece. Ces collaborateurs sont l’aine des deux freres Parfaict pour le divertissement de la Fausse suivante (Anecdotes dramatiques, t. II, p. 345), Riccoboni pour celui de la Joie imprevue, le chansonnier Panard pour celui du Triomphe de Plutus (Journal de police, dans le Journal de Barbier, t. VIII, p. 205) et pour celui de la Colonie (Nouveau theatre italien, t. I, p. 336). Suivant le Dictionnaire des Theatres (supplement, p. 470), le meme Francois Parfaict, dans un moment ou Marivaux avait hate de donner a la Comedie-Francaise son Denouement imprevu (un acte, 10 decembre 1724), l’aida a en “degrossir quelques scenes.” Larroumet, Marivaux, edition of 1894, p. 33, note 1.
[62] Jules Lemaitre, Impressions de theatre, 4e serie, p. 77.
[63] La Harpe, Cours de litterature ancienne et moderne, tome XIV, p. 477.
[64] Jules Lemaitre, Imprressions de theatre, 2e serie, p. 28.
[65] Lesbros de la Versane, p. 6.
[66] Larroumet, Marivaux, p. 63.
[67] De La Porte, p. 3. Lebros de la Versane repeats the same idea, p. 8.
[68] See Larroumet, Marivaux, pp. 63-64.
[69] D’Alembert, Eloge, p. 220.
[70] D’Alembert, Eloge, p. 220.
[71] Ibid, p. 219.
[72] Both Lesbros de la Versane, pp. 14-17, and d’Alembert, pp. 218-219, relate the anecdote, and in much the same way. I follow, in the main, the account given by Lebros.
[73] Larroumet, Marivaux, p. 60.
[74] Lesbros de la Versane, p. 19. D’Alembert, Eloge, p. 291, note 19.
[75] D’Alembert, Eloge, p. 237.
[76] Le Spectateur francais, 4e feuille. Oeuvres, tome IX, pp. 30-31.
[77] Found in the twelfth leaflet of the Spectateur. See d’Alembert, Eloge, p. 235.
[78] D’Alembert, Eloge, note 15.
[79] Marivaux, le Spectateur francais, 16e feuille. Oeuvres, tome IX, p. 160.
[80] Sarcey, (Quarante ans de theatre, tome II, pp. 265-266) argues against this conception.
[81] Fleury, Marivaux et le marivaudage, p. 59.
[82] Lavollee, Marivaux inconnu, p. 61.
[83] See Fleury, Marivaux et le marivaudage, p. 167.
[84] Ibid., pp. 192-202.
[85] “La premiere moitie seule fut inseree dans le Monde, parce que ce recueil cessa de vivre. La seconde moitie parut pour la premiere fois dans un volume de nouvelles de Mme. Riccoboni.” Ibid., p. 202, note I.