[13] Marivaux, Oeuvres, tome IX, pp. 9-11. This anecdote has been narrated by all of Marivaux’s biographers, but sometimes so fancifully, as in the case of Houssaye [Galerie du XVIIIe siecle, premiere serie pp. 94-95], that it has seemed well to give the author’s own account.
[14] Houssaye, Galerie du XVIIIe siecle, premiere serie, p. 95.
[15] D’Alembert, Eloge, p. 242.
[16] According to d’Alembert, p. 214. L’abbe de La Porte does not mention his age.
[17 D’Alembert, Eloge, p. 215.
[18] Fontenelle, Oeuvres, tome VII, p. 546 (Eloge de Mme. de Lambert).
[19] Lucien Brunel, in Petit de Julleville’s Histoire de la langue et de la litterature francaise, tome vi, p. 396.
[20] Palissot, p. 10.
[21] Marmontel, Memoires, livre IV, tome I, pp. 232-233.
[22] Marivaux, La Vie de Marianne, 4e partie. Oeuvres, tome VI, p. 275.
[23] Marivaux, ibid., tome VI, p. 276.
[24] Deschamps, Marivaux, p. 87.
[25] Marmontel, Memoires, livre VI, tome II, p. 88.
[26] Ibid., p. 90.
[27] “Sensible, et meme ombrageux dans la societe, sur les discours qui pouvaient avoir rapport a lui, il avait souvent le malheur de ne pouvoir cacher cette disposition, aussi importune pour lui que pour les autres; il la decelait quelquefois au point d’etre vivement blesse de ce qu’on n’avait pas dit.” D’Alembert, Eloge, p. 244.
“Il etait repli d’amour-propre lui-meme, et je n’ai vu de mes jours a cet egard personne d’aussi chatouilleux que lui. Il fallait le louer et le caresser continuellement comme une jolie femme.” Colle, Journal et memoires, p. 289.
“Marivaux etait honnete homme, mais d’un caractere ombrageux et d’un commerce difficile; il entendait finesse a tout; les mots les plus innocents le blessaient, et il supposait volontiers qu’on cherchait a le mortifier: ce qui l’a rendu malheureux, et son commerce epineux et insupportable.” Grimm, Correspondance litteraire, tome III, p. 183.
[28] De La Porte, pp.6-7. Lebros de la Versane, pp. 20-21, repeats the words of de La Porte, without, however, acknowledging the quotation.
[29] D’Alembert, Eloge, p. 242.
[30] Marmontel, Memoires, livre VII, tome II, pp. 222-224.
[31] There is little, if any, doubt that Marivaux was the author of all three of these productions, as well as of the Telemaque travesti, the authorship of which he denied. For a discussion of the matter, see Larroumet, Marivaux, edition of 1894, p. 25, note 2, pp. 29, 30, notes 1 and 2; Fleury, Marivaux et le marivaudage, pp. 14, 16, 17, 18; Bibliotheque francaise, ou Histoire litteraire de la France, Amsterdam, H. Du Sauzet, in-12, t. XXII, derniere partie, 1736, p. 249, etc.