The Life and Letters of Elizabeth Prentiss eBook

This eBook from the Gutenberg Project consists of approximately 929 pages of information about The Life and Letters of Elizabeth Prentiss.

The Life and Letters of Elizabeth Prentiss eBook

This eBook from the Gutenberg Project consists of approximately 929 pages of information about The Life and Letters of Elizabeth Prentiss.

18. Aunt Jane’s Hero. 1871.

This work was at once republished in England and appeared also in a
French version.

19. Golden Hours:  Hymns and Songs of the Christian Life. 1873.

Several of the pieces in this volume had already appeared; among them “More Love to Thee, O Christ.”  This hymn has passed into most of the later collections.  It was translated into Arabic, and is sung in the land once trodden by the blessed feet of Him whose name it adores, and throughout the East.

20. Urbane and His Friends. 1874.

This work was reprinted in England.

21. Griselda:  A Dramatic Poem in Five Acts.  Translated from the German of Friedrich Halm (Baron Muench-Bellinghausen). 1876.

Mrs. Prentiss supposed that hers was the first English version of this poem.  But there is a translation by Sir R. A. Anstruther, which appeared in London as early as 1840 and in a new edition four years later.  All attempts to obtain a copy of this translation in New York, or from London, have proved futile.

22. The Home at Greylock. 1876.

The following extract from a letter of the author of the French translation to Mrs. Prentiss deserves a place here: 

MADAME,—­Vous savez sans doute que, sans votre autorisation, une plume, bien hardie peut-etre, mais pleine de zele et de respect pour vous, s’est mise a traduire un de vos ouvrages, “The Home at Greylock.”  Sans votre autorisation!  Etait-ce bien? etait-ce mal?  Je me le suis demande plus d’une fois et je vous l’aurais demande, Madame, si j’avais su votre adresse assez tot.

L’editeur m’a mis la conscience a l’aise en m’assurant que le droit etait le meme pour tous, et que les auteurs americains ne pouvaient conceder de privilege a qui que ce fut.  Forte de cette assurance, je me mis a l’oeuvre, mais j’avoue que j’eus besoin d’encouragements reiteres pour mener mon travail a bonne fin.  Encore un mot d’explication, si vous le permittez, Madame.  Je ne suis pas mere, mais je suis tante; j’ai vu naitre mes neveux et nieces, je les ai berces dans mes bras, j’ai veille sur leurs premiers pas, j’ai observe le developpement graduel de leur coeur et de leur intelligence, j’ai senti a fond combien l’oeuvre de l’education est serieuse et combien il importe d’etre discipline soi-meme par le Seigneur pour discipliner les petits confies a nos soins.  Il n’est done pas etonnant que votre livre m’ait vivement interessee et que j’aie voulu le mettre a la portee d’un grand nombre.  Cela eut ete fait tut ou tard par d’autres, je ne l’ignore point; mais j’avais envie d’essayer mes forces, et.... l’occasion a fait le larron.  Ne seriez-vous pas ma complice, Madame?...

M’appuyant sur votre bienveillame et sur la fraternite qui unit les ames dans le Seigneur, je vous prie, Madame, de ne pas me considerer comme une etrangere et d’agreer l’expression de mon estime et mes voeux en Christ.

Copyrights
Project Gutenberg
The Life and Letters of Elizabeth Prentiss from Project Gutenberg. Public domain.