“Testament de Villemain.
“Samedi. July 6th, 1816.
“Je donne mon corps aux Pedants: je legue mon ame aux manes de Voltaire et de J.J. Rousseau, qui m’ont appris a mepriser toutes les vaines superstitions de ce monde, et tous les vains prejuges qu’a enfantes la grossierete des hommes, et surtout les subtiles noirceurs des fourbes de Pretres.
“J’ai toujours reconnu un
Etre supreme, et ma religion a toujours ete
la religion naturelle.
“Quant a mes biens terrestres, je
donne: (Here he mentions various
articles to his favorite school-fellows).
“A Mondesir, mon dernier soupir.
“J’ai toujours connu, je l’ai
dit plus haut, reconnu un Etre supreme,
j’ai toujours pense que la seul
religion digne de lui, etait la vertu
et la probite!
“J’ose dire que je m’en
suis rarement ecarte malgre la faiblesse, et
la fragilite humaine.
“Je parois devant l’Etre supreme
en disant avec Voltaire: ’Un Bonze,
honnete homme, un Dervis, charitable,
trouveront plutot grace a ses
yeux, qu’un Pontife ambitieux.’”
Then follows a Latin quotation, “All
things are due to death, and
without delay, sooner or later, hasten
to the same goal: Hither we all
tend: This is our last asylum”.
“De tout les Pedants qui m’ont le plus tourmente je compte surtout Poir, son Jeannes et Veissier, qui sont la cause du vol que je fais a la nature en tranchant moi meme le fil de mes jours; je leur pardonne, l’equite le fait aussi: Je n’ai cesse de repeter avec Rousseau avant de mourir. ‘Tu veux cesser de vivre, sais-tu si tu as commence.’
“Adieu!!! Mortels et foiblesses! VILLEMAIN".]
Here conclude my notes, and if my reader has condescended to accompany me through my little Tour without feeling fatigue or displeasure at his “Compagnon de Voyage,” my aim and ambition as an author are satisfied—so wishing that all the journeys he may ever take, may prove as delightful to him as this has been to me, I sincerely thank him for his attention, and kindly bid him Farewell!