This section contains 6,423 words (approx. 22 pages at 300 words per page) |
SOURCE: Epstein, Andrew. “Frank O'Hara's Translation Game.” Raritan: A Quarterly Review 19, no. 3 (winter 2000): 144-61.
In the following essay, Epstein asserts that “Choses Passagès” is a compelling poem that encourages further study of O’Hara’s friendship with poet John Ashbery.
Gi; “choses Passagères à John Ashbery” =~ S“choses Passagères à John Ashbery”
J'écorche l'anguille par la queue, peut-être un nœud d'anguille, ou il y a anguille sous roche, je ne fais que toucher barres. Chapeaux bas! mais, il n'y avait pas un seul chapeau, et moi; j'avais beaucoup travaillé dans le temps. J'avais souffert un grand échec, mystérieusement. Qui se sent galeux se gratte! Hébergement? je suis à la hauteur d'une île, c'est du hasard, et je ne suis pas une haridelle, plein d'impudicité, non, non, j'imprime un mouvement à une machine, la semaine des quartre jeudis, du temps que la reine Berthe filit...
This section contains 6,423 words (approx. 22 pages at 300 words per page) |