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SOURCE: Lancaster, Rosemary. “‘We Are What We Eat’: Food, Identity and Class Difference in Annie Ernaux's Les armoires vides and La femme gelée.” Essays in French Literature 37 (November 2000): 114-25.
In the following essay, Lancaster posits that food functions as a signifier of class in Les armoires vides and La femme gelée and notes that both narratives “cast doubts on the possibility of achieving social integration by personal efforts at betterment.”
Le goût [du peuple] est amor fati, choix du destin, mais un choix forcé, produit par des conditions d'existence qui, en excluant comme pure rêverie tout autre possible, ne laissent d'autre choix que le goût du nécessaire.
(Pierre Bourdieu, La Distinction: critique social du jugement)
Ce sont mes parents, les miens, et je les vois bâfrer avec vulgarité, sans pudeur, leur seul plaisir, comme les clients, manger. Ils sont faits comme...
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